A LIRE, AVANT D'ALLER PLUS LOIN.....

Bonjour, vous venez sur mon Blog
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ATTENTION, CE N'EST PAS UN BLOG "MEDICAL", d'autres s'en chargent et ça me gonfle
car pour le moment rien n'a été réellement trouvé pour nous soulager.

Ce que je mets sur mon blog n'engage que moi,

ce sont mes réflexions, mes ressentis que je partage
avec "mes soeurs et frères d'armes" face à nos douleurs de Fibro

Le remède miracle, c'est à Nous de l'inventer !
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La Fibromyalgie : Histoire et Etymologie

Parce qu'on m'a dit : tout le monde ne sait pas ce que c'est la Fibro .

La Fibromyalgie a été identifiée pour la première fois en1904

mais il a fallu plus de 70 ans pour que son existence soit mieux connue.


D'ailleurs jusque dans les années 1980, les médecins ne prenaient pas vraiment au sérieux cette maladie imprévisible et indécelable par les analyses médicales...ou bien il la classait dans les maladies psychiatriques.

Il a fallu attendre 1992 pour qu'une réelle "définition" lui soit donnée.

Le mot Fibromyalgie vient du latin fibro (fibre) et du grec mus (muscle), algos (douleur).

Il caractérise parfaitement le principal symptôme de la pathologie : des douleurs chroniques des muscles du squelette qui affectent le corps tout entier.

Même si 80 à 85 % des malades sont des femmes de 20 à 50 ans, la maladie peut toucher les hommes.
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la FIBRO, pourrait être le bouquet final d'un feu d'artifices

la belle rouge : votre petite enfance, la belle bleue : des problèmes affectifs,

la belle verte : des souffrances : blessures du corps, la belle blanche : blessure de l'âme

et des retombées ...vous allez déguster.

mimie

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la lettre "ESPOIR"

démontre bien que chaque action doit être concertée et que l'entraide est primordiale.

Les oies

Vous vous demandez peut-être pourquoi des oies volent en formation. Et bien, chaque fois qu'une oie bat de l'aile, elle crée un courant ascendant qui facilite le vol de l'oie qui la suit. Grâce à leur formation en V, les oies volent avec une efficacité d'au moins 71% supérieure à celle qu'elles auraient si elles volaient chacune de leur côté.

Les gens qui vont dans la même direction et qui ont le sens du partage,

peuvent se rendre à destination plus rapidement et plus facilement, car il avancent en s'entraidant.

Lorsqu'une oie se sépare de son groupe, elle sent la résistance accrue qu'elle doit affronter seule. Cela l'incite à reprendre sa place au sein du groupe afin de profiter du courant ascendant créé par l'oie qui la précède.

Si nous possédons autant de bon sens qu'une oie,

nous devons rester en formation avec les gens qui vont dans la même direction que nous.

Lorsque l'oie qui se trouve en tête de la formation est fatiguée, elle va derrière et une autre oie prend sa place.

Il n'est que logique d'accomplir à tour de rôle les tâches exigeantes,

et cela vaut autant pour les gens que pour les oies qui se dirigent vers le sud.

Les oies qui se trouvent derrière le groupe cacardent pour encourager celles qui volent devant à maintenir leur vitesse.

Quel message envoyons-nous lorsque nous crions après les autres?

Le dernier point, le plus crucial, c'est lorsqu'une oie tombe malade, se fait tirer par un chasseur ou s'éloigne du groupe par mégarde, deux autres oies la suivent pour lui prêter secours et la protéger. Elles demeurent avec l'oie tombée jusqu'à ce que celle-ci soit de nouveau capable de voler ou jusqu'à ce qu'elle meure.
Ce n'est qu'à ce moment qu'elles repartent, toutes seules ou avec une autre formation, pour rejoindre leur groupe.

Si nous avons autant de bon sens qu'une oie, nous devons nous entraider.

Source inconnue extraite du site des Fibromyalgies d'Alsace

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Merci à mes Ami(e)s pour leur réconfort

"ILANAAQ" (nouvelle création de Jan-No)

Symbole de l'Amitié

Salut ma belle,
Je viens de lire ton mail, et je te rassure afin que tu trouves la sérénité,
Je te ferai un plus long message si possible ce soir, pour l'instant tu enlèves les idées noires de ta pensée et reste forte comme tu l'as tjrs été et fait face à toutes adversités.
Depuis bien longtemps je n'ai plus eu de news de JP et de AM les derniers phones à AM m'ont donné l'impression que je dérangeais alors j'ai mis en veilleuse alors que ce sont des amis qui garde également une place dans mon moi et avec beaucoup de superbe souvenirs.
Je t'embrasse et encore bonne année.
Bises
Eugène.

-=-=-=-=-=-

j'espère que tu vas mieux, accroche toi mimi tu le vaut carrément, t'es trop géniale

voila les images détourées

bizz - joh'

-=-=-=-=-

merci Lisbeth pour ton tél et tes mails, j'espère que ta nuit sera douce et que tu n'auras pas froid

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Quand les Invalides parlent aux Valides !

Quand les Invalides parlent aux Valides !
Peinture de mon amie Claude LAURENT

quand la voiture devient un support de communication

vendredi 25 décembre 2009

LE TRIO : Toi, Moi et la Fibro

Juillet 2006


Pour les bobos
Il y a urgo
Pour nos maux
Il n'y a que des mots
Eh oui la Fibro
C'est pas tous les jours rigolo
Pour Toi
Comme pour moi
Mais comment pourrais-tu comprendre
Quand mon corps fatigué par la douleur
A l'impression d'être passé sous un rouleau compresseur
Et quand lasse et malheureuse je me laisse aller à quelques pleurs
Et/ou quelques expressions de douleurs
Tu ignores tout ce que je garde en mon fort intérieur
Il y a  des mots qui résonnent dans ma tête
"douillette", "tu travailles mal", "c'est de la comédie"


Ces moindres efforts qui avant étaient si banaux
S'ils sont musculaires, j'ai bien du mal à les faire


Tu avais raison, je travaille mal
Quand je lavais le sol et que je ne pouvais pas frotter
Je mettais des tampons verts "gratte vaiselle" sous mes pieds
Et pour passer l'aspirateur sous les meubles, ne pouvant me mettre à genoux
C'est en mettant un coussin au sol que je le faisais pour te faire plaisir.


En période de crise, faire la vaisselle relève de l'exploit,
Restez trop longtemps debout face à l'évier m'inflige des douleurs dorsales,
Combien de vaisselle s'est échappée de mes doigts
Et c'est vrai, je me suis rendue compte après qu'il arrivait que cette vaisselle ne soit pas si nette que je l'aurais voulu
Mais j'avais fait ce que j'avais pu


Moi aussi j'aime avoir une maison propre
Moi aussi j'aime que la vaisselle soit propre
Mais si tu savais ce que "frotter"
Qui demandes des efforts musculaires
Représente pour moi un calvaire.


Les premières années de notre mariage
Tu étais merveilleux, tu me disais "c'est à moi de faire les tâches pénibles",
Tu lavais le sol de l'appartement,
Tu nettoyais les vitres
Et ces travaux que tu faisais pour te et me faire plaisir
Tu me les offrais en cadeau
Puis un jour tu as décidé que ce n'était pas à "l'Homme de les faire"
Et tu ne m'as plus rien offert
Et si agacé, énervé alors "soupe au lait" que tu es
Tu les faisais à regret
Et tu me demandais alors de te remercier
De savoir apprécier...


J'avais besoin de tendresse
Et non de stress
Femme battante je l'ai toujours été
Et il faut que je continue de l'être 
Parce que je n'ai pas d'autre choix
Je m'en remets à Dieu
Et je garde la Foi
Car je crois en moi
Et cette force qui me fait avancer
C'est l'Estime de Soi.


Et un jour de décembre, j'ai décidé de ne plus accepter de prendre pour elle,
Elle qui me colle à la peau, qui fait partie intégrante de moi
Et que je ne peux laisser au vestiaire ou au placard
Comme un vieil habit défraîchi que l'on ne veut plus revêtir.


Ah si je pouvais la jeter aux encombrants mais en la mettant en pièces
Pour que personne d'autre ne puisse s'en couvrir.


Voulant rester seule avec elle pour ne plus affronter tout le stress qu'elle a engendré entre nous,
Et comment elle a ruiné nos relations affectives, depuis 4 ans qu'elle s'était immiscée entre nous deux.


J'ai décidé de te quitter, de tout quitter pour aller me réfugier dans un village breton, terre de mes origines.
Loin de tous ceux que j'aime, de ma ville où j'ai grandi
Où je m'étais investie corps et âme pour les plus démunis, jeunes et moins jeunes de mon quartier
Valides et Invalides.


Mais si je voulais aller de l'avant, il ne fallait pas que je regarde derrière, ne pas penser à mon père.


Ce père que j'aime tant, qui lui aussi souffrait quand il me voyait lors de certaines poussées,
Lui auprès de qui à 50 ans j'allais faire des câlins, je n'avais que lui auprès de qui je pouvais avoir de la tendresse (mon fils parti à Bordeaux pour y faire sa vie tant professionnelle que familiale).

Etant à même de comprendre la douleur sournoise, nous nous étions rapprochés.
Il était heureux quand j'étais à ses côtés, lui dans son fauteuil relax sur la terrasse me regardant jardiner pour son plaisir et sa fierté ou allongé sur son lit pendant que je faisais le ménage et le rangement dans sa chambre
et tout ça sur des airs de musique bretonne que j'avais enregistré exprès pour lui.


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